Christine Franke, Selma Baati, Olivier Evrard, Catherine Kissel, Martine Audiguier, Sophie Ayrault, Philippe Bonté.
Mines-ParisTech, Centre des Géosciences, Ecole Nationale des Ponts et Chaussées, Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement, CEA-CNRS-UVSQ, IPSL,
DOI
https://doi.org/10.26047/PIREN.rapp.ann.2010.vol32
Des études récentes ont montré que la fraction magnétique (métallique) des matières en suspension des eaux de la Seine pouvait être décrite de façon assez complète en utilisant des techniques du magnétisme environnemental combinées avec la microscopie électronique à balayage (MEB ; Franke et al. 2009a & 2009b). Une première étude a été menée sur des échantillons prélevés au cours de l’été 2001 (Tessier et Bonté, 2002 ; Tessier, 2003). La présente étude , qui a fait l’objet d’un stage de Master 2 (Baati, 2010), a utilisé la même combinaison de techniques de magnétisme et de microscopie et elle l’a appliquée à d’autres échantillons prélevés au cours de l’hiver des années 2000 et 2001 (Tessier et Bonté, 2002 ; Tessier, 2003). Cette étude vise à vérifier la possible variabilité des résultats liée aux changements saisonniers.