Les zones humides comme aménagement tampon pour la rétention des contaminants : exemples d'une ancienne cressonnière, d'une tourbière et d'un bassin

Auteur.e.s

Julien Tournebize Jérémy Pulou, Corinne Fesneau, Cédric Chaumont, Evelyne Talès, Julien Peschard, Angéline Guenne, Annabelle Rosel, Jacques Haury, Grégoire Alabergere, Anniet Laverman, Joël Michelin, Antoine Marionneau, Ikram Mouloudi, Pierre Cellier, Céline Decuq, Christophe Labat, Jean-Noël Rampon, Mathieu Sebilo, Paul Passy, Gilles Billen, Josette Garnier.Catherine Carré, Bernard de Gouvello, Jean-Claude Deutsch, Jose-Frédéric Deroubaix, Jean-Paul Haghe.

Université

UR Hydrosystèmes et Bioprocédés, Cemagref, SIARCE, UMR INR - Agrocampus, UMR Sisyphe/CNRS/UPMC, UMR INRA- AgroParisTech EGC, UMR BIOEMCO

DOI
https://doi.org/10.26047/PIREN.rapp.ann.2010.vol08

De nombreux travaux du PIREN- Seine ont traité des zones humides naturelles dans le bassin de la Seine, abordant le sujet sous les angles typologique, recensement, fonctionnement. Les travaux de synthèse présentés pour cette phase sont centrés sur la zone humide vue comme un système tampon au sein des versants. Ces éléments du paysage qu'ils soient naturels ou artificiels peuvent être localisés en position intermédiaire entre les zones cultivées et le réseau hydrographique de surface et ainsi jouer un rôle dans le cycle de l'azote. Les zones tampons jouent un rôle d’interface dans le bassin versant. Les “valoriser” est un objectif pour profiter des services rendus aux écosystèmes. Cependant des aspects hydrologiques et hydrauliques doivent être finement étudiés afin de mesurer l'impact réel sur la qualité des eaux. Trois exemples sont ainsi développés, présentant trois contextes et aménagements contrastés.

julien.tournebize@cemagref.fr