Lise Fechner, Jérémie Lebrun, Marine Perret, Aurélie Germain, Olivier Geffard, Christelle Clérandeau, Pierre Labadie, Hélène Budzinski, Jérôme Cachot, Isabelle George, Adriana Anzil, Pierre Servais, Christophe Minier, Maya Bimbot, Viviane Huteau, Yves Lévi, Lucie Oziol, Odile Dedourge-Geffard, Laetitia Charron, Adeline François, Patrice Noury, Hervé Quéau, Catherine Gourlay-Francé.
Irstea Antony, UR HBAN, Irstea Lyon, UR MALY, UMR 5805 EPOC-groupe LPTC, Ecologie des systèmes aquatiques, ULB, LEMA, Le Havre, LSPE, UMR 8079, Université Paris-Sud, Université Reims Champagne Ardenne, Unité Interactions Animal-Environnement
DOI
https://doi.org/10.26047/PIREN.rapp.ann.2011.vol22
Les travaux mis en œuvre en 2011 s'inscrivent dans la phase 6 de l'axe 4 du PIREN Seine. Ils avaient pour objectif de contribuer : - d'une part à une meilleure évaluation du risque chimique en Seine en s'intéressant au phénomène de bioaccumulation et de transfert dans la chaîne trophique (sédiments, biofilms, gammares) de contaminants organiques dont le comportement dans le biote est aujourd'hui encore peu connu, et en cherchant à donner un sens écotoxique aux mesures chimiques par l'utilisation de mesures bio-analytiques au laboratoire permettant d'évaluer le potentiel toxique de différents compartiments (sédiments, eau : phase dissoute, particulaire) ; - d'autre part au développement d'indicateurs écotoxicologiques permettant de relier la pression chimique à l'état de santé d'organismes vivants exposés in situ en se focalisant sur deux modèles biologiques : le compartiment microbien (biofilms et communautés bactériennes de la colonne d'eau et des sédiments) et le gammare. Pour cela, trois sites ayant déjà fait l'objet de plusieurs campagnes de suivi ont été choisis sur la Seine à l'amont (Marnay) et à l'aval de l'agglomération parisienne (Bougival et Triel) pour faire le lien entre la présence de micropolluants et les réponses biologiques des organismes exposés dans le milieu naturel.
