Jean-Marie Mouchel, Marie Jeanne Teil1, Martine Blanchard, Fabrice Alliot, Catherine Bourges, Mathieu Cladière, Annie Desportes, Tuc Quoc Dinh, Johnny Gaspéri, Sara Karolak, Pierre Labadie, Yves Levi, Catherine Lorgeoux, Cécile Miège, Elodie Moreau-Guigon, Lucie Oziol, Khawla Tlili, Bich Chau Tran, Marc Chevreuil.
UMR Sisyphe, Université Paris et Marie Curie EPHE CNRS, Laboratoire de Physico- et Toxico-Chimie de l'environnement (LPTC), UMR 5805 EPOC, CNRS-Université Bordeaux 1, LEESU, Université Paris-Est, UMR-MA102 -AgroParisTech, MAEP Cemagref, Laboratoire Santé Publique – Environnement, UMR 8079 CNRSAgroParisTech, Université Paris XI
DOI
https://doi.org/10.26047/PIREN.rapp.ann.2010.vol21
Deux campagnes ont été organisées pour évaluer l'impact de rejets urbains de l'agglomération parisienne sur les teneurs en micro-contaminants en Seine. La première, en 2008, concernait un important point de rejet du réseau parisien unitaire, situé à Clichy. La deuxième, un an plus tard a eu lieu en Marne, à la traversée de la banlieue parisienne, dans un secteur essentiellement séparatif. Dans les deux cas, nous nous sommes intéressés à la fois aux métaux trace et à une série de contaminants organiques, perturbateurs endocriniens potentiels pour la plupart. Les objectifs généraux des deux campagnes étaient les mêmes, à savoir mettre en évidence l'ordre de grandeur des niveaux de contamination atteints en Seine au cours d'événements pluvieux et la cas échéant mettre en évidence des processus autre que le mélange des masses d'eau affectant le devenir des contaminants et susceptibles de modifier leurs concentrations.
