Il apparaît aujourd’hui très clairement que l’agriculture est, dans le bassin de la Seine comme en de nombreux endroits en Europe et dans le monde, un facteur majeur d’altération de la qualité des masses d’eau. La généralisation des mesures visant à ‘raisonner’ l’agriculture (équilibre de la fertilisation, bandes enherbées, …) a sans aucun doute permis d’enrayer une évolution dramatique de la pollution diffuse agricole initiée dans les années 1970, mais n’a le plus souvent réussi qu’à stabiliser une situation déjà fortement dégradée.